« Sous-fonds » : différence entre les versions
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« Dans des cas exceptionnels, le “[[Fonds d’archives|fonds]]” peut être subdivisé en sous-fonds et en sous-sous-fonds, lorsqu’il s’agit d’unités administratives subordonnées. »<ref>Jean-Yves Rousseau, « Chapitre 5 : Les unités de travail », 120.</ref> Cette notion est peu utilisée au Québec<ref>''Ibid''., 135.</ref>. | « Dans des cas exceptionnels, le “[[Fonds d’archives|fonds]]” peut être subdivisé en sous-fonds et en sous-sous-fonds, lorsqu’il s’agit d’unités administratives subordonnées. »<ref>Jean-Yves Rousseau, « Chapitre 5 : Les unités de travail », ''Les fondements de la discipline archivistique'', Jean-Yves Rousseau, Carol Couture ''et al''., Sainte-Foy, Presses de l’Université du Québec, 1999, 120.</ref> Cette notion est peu utilisée au Québec<ref>''Ibid''., 135.</ref>. | ||
Selon Rousseau, la notion de sous-fonds ne devrait être utilisée que dans le cas où un service d’archives applique l’approche maximaliste du fonds d’archives<ref>''Idem''.</ref>. Le sous-fonds permet alors de conserver le lien entre une unité administrative et l’[[institution]] d’où provient le fonds d’archives (par exemple, dans une municipalité, le sous-fonds du service des finances serait subordonné au fonds de cette municipalité). Le sous-fonds n’est donc pas une unité de travail assimilable au fonds ou à la [[série]]. | Selon Rousseau, la notion de sous-fonds ne devrait être utilisée que dans le cas où un service d’archives applique l’approche maximaliste du fonds d’archives<ref>''Idem''.</ref>. Le sous-fonds permet alors de conserver le lien entre une unité administrative et l’[[institution]] d’où provient le fonds d’archives (par exemple, dans une municipalité, le sous-fonds du service des finances serait subordonné au fonds de cette municipalité). Le sous-fonds n’est donc pas une unité de travail assimilable au fonds ou à la [[série]]. | ||
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Dernière version du 12 avril 2014 à 19:20
« Dans des cas exceptionnels, le “fonds” peut être subdivisé en sous-fonds et en sous-sous-fonds, lorsqu’il s’agit d’unités administratives subordonnées. »[1] Cette notion est peu utilisée au Québec[2].
Selon Rousseau, la notion de sous-fonds ne devrait être utilisée que dans le cas où un service d’archives applique l’approche maximaliste du fonds d’archives[3]. Le sous-fonds permet alors de conserver le lien entre une unité administrative et l’institution d’où provient le fonds d’archives (par exemple, dans une municipalité, le sous-fonds du service des finances serait subordonné au fonds de cette municipalité). Le sous-fonds n’est donc pas une unité de travail assimilable au fonds ou à la série.